Invité | Sujet: Lux ♦ Un vent breton souffle sur Beacon Hills Sam 9 Jan 2016 - 18:19
| Lux Guinevere D'Armorique« I can't drown my demons, they know how to swim »Prénom(s): Lux Guinevere ♦ Nom : D'Armorique ♦ Age : 25 ans ♦ Nationalité : Franco-américaine ♦ Métier/étude : Bibliothécaire (au lycée) ♦ Orientation : Hétérosexuelle ♦ Particularités : C’est une Sirène (siren) dormante ♦ Groupe : The not necessarily innocent ♦ Avatar : Ksenia Solo
| | Elle est née quand ses parents revenaient de croisière, sur le pont du navire, au large des côtes de Roscoff ♦ Elle n’était pas désirée, ni prévue au programme, sa mère ayant fait un déni de grossesse ♦ A trois ans, elle marchait et parlait depuis longtemps, hyperactive comme elle était ♦ A l’âge de sept ans, elle s’est cassé le poignet en tentant d’escalader un éperon rocheux sur une falaise au bord de la plage ♦ Elle a toujours été aventureuse, et les fois où elle rentrait couverte d’égratignures n’étaient pas rares ♦ Elle aimait bien aller pêcher avec son grand-père, au large des côtes de Roscoff, et s’amusait comme une folle à gambader sur le navire ♦ Elle a failli se noyer, a treize ans, alors qu’elle a chuté de la falaise directement dans la mer, à marée haute ♦ Sa mère est décédée quand elle avait quinze ans, dans un crash d’avion ♦ A seize ans, son père a décidé de déménager car il avait une opportunité d’emploi aux USA ♦ Jusqu’à ses dix-huit ans, elle étudie dans un lycée à New-York ♦ Elle fait quelques années d’études en cursus littéraire, et obtient son premier emploi de bibliothécaire à vingt-quatre ans, dans un collège de New-York ♦ Elle ressent l’envie de changer d’air quand son père meurt, victime dans une fusillade de gang, et se trouve attirée à Beacon Hills où elle a une opportunité d’emploi en tant que bibliothécaire du lycée ♦ C’est une Sirène (siren) dormante ♦
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Once upon a time
Le 13 août, il y a de cela vingt-cinq ans révolus, monsieur et madame D’Armorique rentraient d’une croisière en méditerranée. Alors que le navire s’approchait des côtes de Roscoff, à la pointe de la Bretagne, madame s’est sentie mal. Elle est montée sur le pont prendre l’air, en espérant que ça allait passer. Mais ce n’est pas passé. Monsieur l’a rejointe alors que les crampes abdominales se faisaient plus pressantes, plus douloureuses. De longues minutes après, madame perdait les eaux. A partir de là, tout s’est enchaîné très vite, et madame a mis au monde une ravissante petite fille qu’ils prénommèrent Lux, en l’honneur de la suite qu’ils avaient occupé sur le navire de croisière. Lux Guinevere D’Armorique.
Petite fille heureuse et aventureuse, elle commença à marcher et à parler très tôt. Elle ne tenait pas en place, et était toujours en train d’escalader quelque chose. Elle adorait passer du temps avec ses grands-parents paternels, surtout quand son grand-père l’emmenait avec lui à la pêche. Elle adorait le phare rénové que ses grands-parents paternels possédaient, au bord d’une falaise surplombant la mer. Elle se plaisait à se tenir près du rebord, à observer les vagues se jeter contre la roche et retomber en écume. Elle se plaisait à descendre ce petit sentier escarpé qu’elle avait trouvé, jusqu’à la plage, et à essayer d’escalader la falaise, ou les éperons rocheux de la plage, à marée basse. Tant et si bien qu’un jour, elle retomba mal et se brisa le poignet. Mais qu’à cela ne tienne. Ce n’est pas ce petit incident qui musela sa curiosité et son impulsivité. A l’âge où les fillettes jouent aux Barbies, celle-ci lisait, ou jouait sur la plage, sur la falaise, dans le phare de ses grands-parents, etc. Elle avait treize ans lorsqu’elle faillit mourir noyée. Elle dansait sur le rebord de la falaise, accueillant la pluie drue avec un plaisir tout enfantin. Mais elle dérapa. Elle chuta, essayant sans succès de trouver une prise contre la paroi de la falaise, et tomba dans la mer. Car, heureusement, c’était marée haute. Si le niveau de la mer avait été plus bas, elle se serait fracassée contre le sol. Mais même si elle savait nager, le courant était fort. Le vent aussi. Elle manqua de se noyer plusieurs fois, avant de réussir à s’agripper à un éperon rocheux qui sortait de l’eau comme un croc gigantesque. Trempée, glacée, elle dû attendre que le niveau de l’eau redescende pour pouvoir remonter et se sécher. Mais ça ne l’empêcha pas de revenir encore et encore, à chaque période de vacances scolaires, chez ses grands-parents.
Quand elle eut quinze ans, le drame la frappa une première fois. Sa mère, avocate pour un grand groupe pharmaceutique, se déplaçait souvent en avion. Elle allait à Londres, à Paris, à Milan, à Rome, à New York, etc… Ce jour-là, elle devait se rendre à Venise. L’avion dans lequel elle était s’est malheureusement crashé dans les montagnes, à la frontière franco-italienne. Accident ou sabotage ? Les résultats de l’enquête n’ont pas été concluants, et le doute a toujours flotté. L’année d’après, son père a accepté un poste de professeur à l’Université de New-York, et ils ont déménagé. On ne peut pas dire qu’elle s’est tout de suite bien intégrée, là-bas. Elle était « la nouvelle », elle avait un très fort accent français, et elle n’était pas une grande fêtarde. Pourtant, au cours des deux années qu’elle passa dans son lycée, elle finit par se fondre dans la masse. Elle devint même un peu populaire, et s’ouvrit un peu plus aux autres. Elle a commencé à aller aux fêtes organisées pour les anniversaires, pour les vacances, et elle a finalement pris goût à ces sorties entre amis.
Après son diplôme, elle s’est dirigée vers un cursus littéraire. Elle adorait lire, et écrire, et se perdait souvent dans son imagination. Intelligente, elle aimait aussi apprendre, et c’est pour cela qu’elle n’a pas hésité à prendre quelques options en dehors de son cursus. Biologie, chimie, histoire ancienne et sport. Ses trois premières années de licences se passèrent plutôt bien. Si elle sortait au moins une fois par semaine, elle travaillait malgré tout avec acharnement. Pour se faire de l’argent de poche, puisque son père payait son université, elle travailla un moment dans une patinoire, à l’accueil pour les soirées où il y avait des matchs de hockey ou encore des soirées pour le grand public. Elle put ainsi s’acheter elle-même sa première voiture. Elle poursuivit ses études par un master, et le fit en trois ans. Toujours studieuse, elle commençait néanmoins à se lasser. Elle voulait vraiment travailler, et gagner sa vie. Son expérience à la patinoire lui donnait l’envie d’être indépendante. Elle commence alors à postuler dans les bibliothèques publiques et privées, pour devenir bibliothécaire. Elle reçoit une réponse positive, environ un mois après le début de ses démarches, pour une bibliothèque de collège. Elle cesse alors ses études et prends son premier emploi.
Un an après, son père meurt, victime d’une fusillade de gang. Seule, et héritière d’un compte en banque qui lui permet de vivre confortablement, elle est néanmoins accablée par le chagrin. Elle souhaite quitter New-York et trouver une petite ville tranquille, loin de tous ces tracas qu’elle vit au quotidien dans une grande ville telle que New-York. Elle cherche alors des offres d’emploi de bibliothécaire un peu partout dans le pays, et elle finit par en trouver une à Beacon Hills. Dès que sa décision est prise, et qu’elle est acceptée pour le job, elle fait ses cartons et met l’appartement que son père avait acheté en location. Elle ne tarde pas à partir, après avoir trouvé un appartement à louer à Beacon Hills.
Elle commence tout juste à y prendre ses marques. Et la tranquillité qu’elle recherche n’est sûrement pas au rendez-vous. Mais elle se sent malgré tout « chez elle », et ne veut pas déménager de sitôt. Elle a même entreprit d’acheter un entrepôt désaffecté à quelques kilomètres de la ville, qu’elle fait actuellement rénover pour y habiter plus tard.
Elle ignore pourquoi elle a été attirée à Beacon Hills précisément. Mais c’est en rapport avec son patrimoine génétique. Lux est ce qu’on appelle « Une sirène dormante ». Elle possède un gène qui ne s’active qu’avec une morsure de créature garou, un peu comme les Banshee. Quand ce gène est activé, la Sirène (siren en anglais), peut envoûter grâce au timbre de sa voix, quand elle chante, quand elle siffle ou bien quand elle crie. Elle peut contrôler, effrayer, motiver ou encore assommer et affaiblir celui contre qui elle dirige son pouvoir. Elles peuvent aussi stimuler leurs cellules pour activer la guérison rapide, sur elles ou sur d’autres. Mais avoir le gène activé ne fait pas tout. Comme il y a très peu de Sirènes possédant ce gène (environ 1% de la population mondiale), et encore moins de Sirènes actives (10% des Sirènes possédant le gène), les êtres dont le gène s’active tâtonnent au début pour maîtriser leurs capacités. Par ailleurs, si elles traversent le sorbier sans problème, elles ressentent, malgré tout, des faiblesses, des étourdissements, en présence de ce bois. Si l’argent ne leur fait rien, l’obsidienne, en revanche, est un véritable poison pour elles. Et, en dehors de tout ça, les Sirènes sont aussi fragiles que les autres humains, physiquement. Elles peuvent tomber malade, même si cela reste rare par rapport à la population humaine, et se casser des membres. Concernant les maladies, il est très rare qu’elles soient atteintes d’un cancer, d’Alzheimer ou de maladies aussi graves. Leur chant leur permet d’activer la guérison de leurs cellules. Mais elles ne sont pas à l’abri de maladies bénignes telles que les rhumes, les grippes, les migraines ou les angines. Le pire, pour elles, c’est les extinctions de voix, évidemment.
Ainsi, Lux possède ce gène dormant de Sirène. Elle l’ignore, et ignore encore tout du surnaturel. Pour le moment, en tout cas. Mais ça pourrait ne pas durer éternellement. Surtout à Beacon Hills…
Behind the screen Pseudo / Prénom : Lulux ♦ Âge : 22 ans ♦ Tu préfères les cookies ou les tartes aux pommes ? Les cookies, tout chocolat. Ou bien les tartes au pommes avec des pommes en chocolat ♦ Comment t'es arrivé(e) ici : Google est mon ami ♦ Ton personnage préféré dans TW : Peter Hale ♦ Fréquence de connexion : 3 ou 4 jours sur 7 à peu près ♦ Une ultime bafouille : Let's goooo o/CODAGE DE © MRS HYDE
Dernière édition par Lux G. D'Armorique le Sam 9 Jan 2016 - 20:26, édité 2 fois | |
Stiles Stilinski
Don't be afraid of the dark Infos Messages : 1412 Date d'inscription : 07/03/2014 Fiche More about Relations : Inventaire: | Sujet: Re: Lux ♦ Un vent breton souffle sur Beacon Hills Sam 9 Jan 2016 - 20:42
| VALIDATION« Félicitations, tu fais partie des nôtres maintenant »YEAAAH te voilà validé, c'est pas beau ça ?Si tu es validé, c'est que tu as pris conscience du règlement et du contexte de LyM, tu es donc au courant de tout ce qu'il faut savoir pour bien vivre parmi nous. N'oublie pas de faire un tour par les annexes, elles sont pleines d'informations utiles. Maintenant que tu as ta couleur, il te faut te sociabiliser, pour se faire n'hésite pas à poster ta fiche de liens ainsi que ta fiche de rps et ton téléphone. Il te faudra aussi faire ta demande de logement, parce que c'est bien d'avoir un toit au-dessus de sa tête et ta demande de métiers, parce qu'il faut bien payer le loyer. Par ici tu pourras trouver les demandes en tout genre si tu as besoin d'autres choses. Et bien entendu, le staff reste à ta disposition si tu as besoin d'aide. Have Fun CODAGE DE © MRS HYDE | |