Forum RPG basé sur la série Teen Wolf et plus particulièrement sur la saisons 3B, à la clé tout un tas de loups-garous et d'autres espèces surnaturelles
Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes.
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Sujet: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 1:54
Aurora Summers Warner
And just like that, the whole world came crashing down on me.
Identity card
Prénom(s): Le monde et ses insignifiantes prétentions te prénomment Aurora, toi, celle qui de son regard d'ange se prétend en or, suivant la signification latine de ce prénom loin d'être anodin. Tu le portes bien, il te correspond. Jamais tu ne t'imaginas en porter un autre, à quoi bon changer le monde lorsque l'on ne peut pas même se changer soi-même ? C'est ce que tu te dis. Un prénom n'est qu'une identité, quelques lettres qui s’enchaînent, se glissent sur vos lèvres pour interpeller la belle. Rien de plus, rien de moins. Pourquoi s'encombrer de regrets ? Que l'on te surnomme Aurora, ou que l'on emploie ton second prénom, Summers, ça te va. Bien que cela soit plus rare, tu n'as que faire des désignations simples et sans attaches que l'on accorde à ton âme. Nom : Warner. Une famille des plus normales, vous savez, de ces familles qu l'on croise chaque jour, portant un nom vu et revu au sein des enseignes de ce piteux univers. Pourtant, tu en es fière de ce nom. Il te rappelle tes parents, ta grande sœur, ta famille, celle qui sombra dans l'oubli de la souffrance et de l'amertume. Warner, c'est ta dernière connexion avec eux. D'autres osent proclamer qu'ils demeurent dans ton cœur, voilà la réalité, ils s'accrochent désespérément à celui-ci. Mais, toi, tu sais qu'il s'agit uniquement de conneries bafoués pour te rassurer. Quant bien même ta famille demeure encore existante, ils doivent probablement se trouver en un lieu tout aussi enflammé que celui dans lequel tu vis. Un lieu digne de l'enfer, mais au fond, celui-ci est esseulé du moindre de ses démons. Ces derniers sont au contraire, sur terre, là où grouille la vermine depuis la nuit des temps. Seul le mal à sa place. Aussi, ce nom, c'est tout ce qu'il te reste d'une étincelle de bonté, peinant à briller dans l'obscurité de la vraisemblance. Age : Dix-huit ans, tant de temps que ton âme lutte pour demeurer consistante et présente en ces foules d'essences diverses qui se battent en chaque seconde pour survivre. Dix-huit ans que tu survis, tu le sais, tu es une survivante. De nos jours, atteindre la majorité indemne est un cadeau. Un don impossible. Tu n'es pas indemne. Tu es vivante, mais ce mot n'est relatif qu'à ton cœur qui perdure son périple. Au fond, tu es telle une morte vivante, tu as traversé les champs désertiques de la faucheuse et tu en es revenue. Tu n'es ni morte, ni vivante, c'est un fait que personne ne peu négliger. Nationalité : Française, pure souche. Tu es née dans une petite ville de France, à l'abri des regards. Ce pays, si symbolique à tes yeux, représente les ébauches d'un bonheur révolu, des rires qui résonnent au loin, si loin. Tu aimerais revenir à ce passé plus beau, mais, tu te trouve dans une malheureuse impasse que tu aimerais briser d'une droit bien placée. Le surnaturel existe, pourtant, les retours dans le temps ne semblent pas prévus pour sitôt. Bien plus qu'un pays natal, depuis ce jour, impossible pour toi d'y retourner, il a beau abriter tous tes espoirs et tes joies, en ces lieux pervertis se trouvent également tes malheurs les plus profonds, souvenirs marquants ancrés à jamais en ta mémoire défaillante. Métier/étude : Tu es en terminale. Du moins, c'est ce que tout le monde pense lorsque l'on t'aperçoit au détour d'un couloir du lycée de Beacon Hills. Une simple élève qui lutte pour se faire une place. Pourtant, au-delà des apparences, tu es bien plus. Une chasseuse parfaite, encouragée par un élan de vengeance que tu n'es pas prête d'étouffer. Oh, tu l'aimes ta vengeance, émotion vivace qui te permet de te raccrocher à la vie, à l'ardeur d'une existence qui paraît avoir fait son temps. Tu mènes une double vie, et pour le monde, seules tes doucereuses victimes en ont consciences. Orientation : Bisexuelle, tu ne peux jamais te décider, indécise à ce propos, tu es aussi heureuse dans le lit de l'un ou dans le lit de l'autre. Tu en as connus des histoires, mais peu importe le visage de tes prétendants, tant que tu t'amuses, tout va bien dans le meilleur des mondes. Tu n'es pas difficile, tu fais avec les deux, de quoi contenter un public averti. Ne jamais comptez pas sur toi pour avoir plus qu'une relation d'une simple nuit, ta règle numéro une que tu appliques à la lettre en un sourire abusif. Particularités : Tu as un magnifique tatouage au bas de ton dos où tu as gravé en lettre noir d'une rare écriture le mot dur, rêche et si convoité par l'humanité. Vengeance. Groupe : We have code. Avatar : Emilie Nereng /alias la-plus-belle/
Vous pouvez parler des points importants de la vie du personnage, ce qu'il a vécu, les choses importantes qui font le personnage.
Avant ce jour chaotique, tu vivais une vie des plus heureuses, entourée de deux parents aimant et d'une sœur jumelle, plus petite que toi de quelques minutes tout au plus. Ta vie était parfaite, sous les chaleurs réconfortantes de la France, terre promise qui te manque tant, à présent. Il te semble que cela fait des siècles que tu ne l'as pas foulé de ta démarche assurée. Ou qui sait, s'agirait-il de millénaires ? Tu ne considérais uniquement la langue française, malgré l'origine américaine de tes parents. Cependant, ces derniers t’enseignèrent leur langue natale au fil des années, si bien qu'à présent, l'anglais comme le français sont deux langages que tu maîtrises sans le moindre effort. Pourtant, tu conserves cet accent français qui charge le moindre de tes mots anglais qui s'extirpent difficilement de ta bouche. Lors de tes treize ans, ta famille fut décimée par une meute de loups, en quête de vengeance, dû aux anciennes activités nocturnes de tes parents, qui, dans un temps passé, jouaient les héros des innocents de cette terre. Le célèbre couple de chasseurs, si redoutable dans toute l'Amérique. Et ailleurs. Connus pour tuer leurs victimes ensemble, impossible de les retrouver l'un sans l'autre. Tes parents te révélèrent l'existence du surnaturel à tes huit ans, afin que tu ne grandisses pas dans l'ignorance la plus extrême. Tu haïs les loups plus que tout au monde, tes pensées ne sont axées uniquement sur cette douce perspective d'une vengeance imminente. Tes nuits sont peuplées de leurs hurlements, à ces lâches qui t'abandonnèrent pour morte sous l'ombre menaçante d'une pleine lune redoutable. Tu ne parvins jamais à demeurer plus de quelques mois dans une même famille d’accueil. Tu ne cessais de déserter leur vie, t'entraînant à l'abri des regards jour après jour, en suivant l'héritage délaissé de force par tes parents, qui confièrent tout leur savoir dans un journal soigneusement rédigé. Tu t'emparas également de leurs armes. Et tu ne remis plus jamais les pieds dans ton ancienne maison, dans ta précédente vie. Tu passas une longue année dans une maison de redressement, avant d'effectuer six mois de travaux d'intérêt général pour avoir castagné sans pitié un couple de malins qui osèrent te défier, toi, celle que les quelques rescapés de tes attaques ont prénommé Shadow, aussi furtive que son ombre elle-même. C'est ainsi que tu es reconnue dans le monde du surnaturel. Tandis que dans cet univers parallèle dit naturel, tu n'es qu'Aurora. Tu as choisis cette famille d’accueil vivant à Beacon Hills, uniquement parce qu'il se trouvait que la cible de ton amère revanche y avait déposé sa tente, lui et sa malheureuse meute. A tes heures perdues, tu te prétends telle une simple étudiante de terminale. Et ton jeu, tu le joue à merveille. Une véritable actrice dans un rôle sur mesure, si éloigné de la réalité. Aux yeux des autres, tu es cette fille souriante qui ne cesse de rire, de parler, de plaisanter. Celle qui demeure dans le cœur de tous comme l'optimiste même. Le contraste de ta véritable personnalité. Cependant, considérant cela comme un authentique défi lancé à toi-même, tu es prête à tout pour tenir ce rôle le plus longtemps possible. Dès que tu aperçois un loup, peu importe son âge, peu importe ses choix, tu n'hésites pas à mettre fin à ses jours. La pitié n'est qu'un fléau dont tu ne te soucis guère. Tout ce qui t'importe, c'est débarrasser le monde de cette vermine infinie. Coûte que coûte. Cette espèce mérite de disparaître. A jamais.
Once upon a time
Le commencement d'un tout
Quelqu’un a dit un jour que la mort n’es pas la pire chose dans la vie : le pire, c’est ce qui meure en nous quand on vit.
L'agonie d'une vie achevant sa route, quel doux son se propageant à travers la forêt, laissant le monde contempler cette souffrance malsaine d'une avidité sans pareille. Plus un bruit. Le silence dans toute sa splendeur... si l'on en exclue les gémissements de douleur s'extirpant lentement de sa bouche sanguinolente. L'homme achève son existence, l'épée à jamais dans son cœur, ce pauvre cœur mutilé à tort par les désirs compréhensibles de malheureuses âmes pensant effectuer la volonté du ciel. Bien plus qu'une simple mort, de cette fin misérable, un cycle de haine et de vengeance paraît s'insinuer entre leurs regards désespérés. Tout amour n'est plus qu'un lointain souvenir, l'affliction s'écoule encore et encore, de cette plaie ouverte destinée à abriter différents soupirs au fil des années. C'est écrit d'avance, ceci n'est que le commencement de l'artisan de l'animosité elle-même. Il est prêt à effectuer cette lourde tâche qui lui incombe, jour après jour. Et, tandis que l'horreur prend vie dans les yeux épouvantés des responsables de cette mort propice, l’antipathie paraît inonder ces êtres ne formant qu'une seule et même entité. Cette meute, privée d'un membre, d'une parcelle de leur âme. Et ce, par la faute de ces chasseurs qui osèrent défier la colère intransigeante des loups dans toutes leurs puissances. Il agonise, il expire son dernier soupir et alors, le déluge s'abat sur le monde, sur ces deux camps adverses s'affrontant jusqu'à l'ultime trépas, de l'un, ou de l'autre. Pas un ne bouge. Les émotions sont tels qu'ils paraissent mitigés dans le temps, tandis qu'à leurs côtés, le mort les imite bien malgré lui. Ils aimeraient courir pour sauver leur vie, ils le savent, elles ne tiennent qu'à un fil. Un simple fil, que de sa griffe, ce monstre désirant revanche est près à détruire, d'une simple tension volontaire. Une mince sonorité résonnant entre les malheurs de ce monde imparfait. La vie est imparfaite. Parfaitement imparfait, c'est ce que murmure le moindre des individus présents entre les obscurités menaçantes d'une forêt qui contemple ce conflit silencieux sans un mot, telle la mort, il se glisse à travers leurs corps, fasciné par leurs traits si distincts les uns des autres. Qualifiant pourtant une seule et même émotion. Ce point commun les reliant tous en un même être. L'humanité de leur regard fendu, brisé. S'ils haïssent, s'ils aiment, c'est par l’inadvertance de leurs sentiments, lamentables sentiments les privant de cette puissance qu'ils espèrent tous atteindre. Le vent hurle, leurs cœurs saignent. Un jeune homme masqué brise alors cette harmonie d'une même paralysie, se traîne sous les yeux figés des fondateurs de sa peine. Son masque recouvre son visage, son piteux visage que l'on sait tous embués de larmes. De sa voix rauque, mais frêle, il dénonce alors une vérité qu'il fera réalité. La promesse d'un loup est infaillible. Se défaire de cette vraisemblance ne serait qu'une chétive erreur, se dissimulant sous l'espoir d'une probable survie. « Vous. Vous nous avez tous amputés d'une partie de notre âme, de notre essence. Nous allons vous rendre la pareille. La mort ne serait pas vous suffire, vous méritez le châtiment ultime. La perte de votre bonheur, de votre joie. De votre humanité. Lorsque j'en aurais fini avec vous, vous regretterez ce sang sur votre lame. Vous ne savez qui je suis. Vous ne connaissez pas mon identité. Je frapperais de l'intérieur, là où toute chance de survie est impossible. Je vous le promets. »
L'illusion d'un monde parfait
On passe notre vie entière à s’inquiéter de l’avenir, à faire des projets pour l’avenir, à essayer de prédire l’avenir... Comme si savoir à l’avance pouvait amortir le choc. Mais l’avenir change constamment. L’avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile... l’avenir, n’est jamais comme on l’avait imaginé.
Écoute. Écoute les rires de ce bonheur illusoire. Écoute les battements réguliers de ce cœur. Laisse ton ouïe percevoir la réalité de ce rideau abandonnant l'évidence au passé. La joie déborde à travers ces champs, à travers la solitude d'une famille réunie. Personne ne peut leur faire défaut, leur espérance est telle qu'elle surpassa l'entendement humain. Aussi, la bonté d'un instant paraît marquée en leurs sourires éblouis. La petite fille gambade en des hurlements d'euphories, de ces hurlements apaisants, qu'on rêverait d'entendre chaque jour. Toute trace d'une désolation naissante rongeant peu à peu la surface de la terre n'est pas. Laisse-toi transporter par cette chimère parfaite. Elle t'invite en ces songes d'une exactitude déconcertante. Tu ne peux nier la réalité d'un temps révolu. De ce temps où toute calomnie ne se déroulait uniquement pas entre les contes de fées les plus sombres. Face à toi, l'histoire bien heureuse d'une existence veine. À ses talons, un second bambin, galopant sur le chemin que sa sœur s'empresse de tracer. Elle suit les traces de son aîné, se contente de demeurer sur la trajectoire sûre et aisée de l'assurance se dégageant de cette allégresse si enjouée. Tu aimerais y croire, te laisser bercer de ces doucereuses illusions. Pourtant, tu le sais mieux que quiconque. Le bonheur n'a pas lieu sans cette part bien dosée de souffrance. Tôt ou tard, tu seras livré à l'exactitude d'un monde livré à lui-même. Survivre, c'est ce qu'on te murmurera du haut de la rampe, sous les feux des projecteurs, cette voix tentera au mieux de te guider, de préserver cet infime souffle de vie quelques secondes de plus. Quelques secondes, c'est tant et si peu à la fois. Les géniteurs de ces deux enfants rieurs accourent en une ivresse palpable. Mais, malgré ce masque d'extase, la tension d'un temps accompli demeure, au fin fonds de leurs pupilles. Ils observent les fruits de leurs entrailles, prient pour leurs âmes, en cet espoir toujours aussi défaillant de la mort bienvenue de leur plus grand ennemi, celui qui dansa en tête à tête avec la vengeance. Ce doux mot dont tu connais si bien le sens, à présent, Princesse de ce sens aiguisé que tu pourrais expliquer en un seul regard. La maison de tes souvenirs envahit ton champ de vision. Tu l'aperçois, ce nid douillet portant le nom d'une famille méconnue. Les Warner. Quoi de plus anodin que cette désignation subtile et sans réelle profondeur. Pas de philosophie particulière dissimulée en ces lettres, un simple mot que cette lignée maudite porte depuis la nuit des temps. Une lignée de chasseurs inavouée. Ils chassent le malheur, c'est ainsi qu'ils voient les choses. Ces malheureux personnages qui luttent chaque jour contre les crocs aiguisés de leur tenace passé. Pourtant, ils tentent de vivre cet instant présent, de le savourer, d’imiter les mines enchantées de la source de cet espoir infini, paraissant surpasser les mondes, surpasser la vie, aussi bien que la mort en elle-même. Une rivière blonde jaillit sous le passage exalté des deux petites filles. Elles sont sœurs, tels deux gouttes d'eau, bien qu'une certaine différence vienne difformer leur trait. Elles s'amusent, se délectent de la moindre parcelle de l'existence. Personnifications de l'innocence, s'alliant avec la joie, inévitablement. Parfois, tu te demandes comment tu n'as pas pu entrevoir la lueur désespérée dans le regard mensonger de tes créateurs. La façon avec laquelle tu as ignoré en un vain sourire leur souffrance silencieuse, ce désir de protection les rongeant, ce désir de tuer le maître de leurs angoisses les plus profondes. Comment ne pas avoir entendu les pleurs de ta mère, qui ne se lassait pas d'imager les pires scénarios possibles ? Comment as-tu pu simplement vivre, jouir du beau temps sous le splendide soleil de France sans réaliser la vérité frappante d'une grisaille profondément enfouie ? Comme une plaie ouverte. C'est ce que tu te dis. C'est ce qu'ils se sont tous dit. Tout paraît si clair à présent. Mais, malgré ces innombrables indices, tu demeurais aussi heureuse, tu les nourrissais jour après jour de ta joie de vivre accroissant. C'était ainsi, que tu les aidais à surmonter leur peine. Du haut de tes quelques années, tu tentais de sauver le monde, sans même réaliser que tu piétinais alors le territoire de la revanche et de son fameux bain de sang si relatif à celle-ci. Tu avais la rage. La rage de vivre, la rage de rire. Personne n'aurait pu t'en priver. Personne si ce n'est la vérité. Tout simplement. Un mot. 6 lettres. Quelques murmures, et ton monde s'écroulait. Ton sourire s'éclipsait, emportant avec lui, l'espoir, cette infime lumière verte au bout du couloir. C'est ainsi que tu la perçois. À présent, elle n'est plus qu'un lointain souvenir, enfoui dans les abysses de ta mémoire. Tu observes ton ancien toi, tu tentes de t'emparer de ses traits n'offrant qu'extase et gaieté. De les marquer en ton esprit, de ne faire qu'une avec ce souvenir. Tu tentes à ton tour, de te nourrir de ta propre rage passée. Vainement. Ce n'est que la commémoration de ce que l'on pourrait considérer comme ton ancienne vie. Une vie chargée en rebondissements qui s'acheva par la pire de toutes les fins. Celle qui transperce votre âme, vous brise, vous piétine, vous dénude de toute consistance, vous laisser serrer entre vos bras tremblants la faucheuse en personne...
Le chaos
Je m’effondre. Place Vendôme à sept heures du matin. Une fille à genoux qui mord sa main ensanglantée. Et qui hurle. Qui hurle une plainte incohérente. Comme si le désespoir avait pris forme. La forme d’un cri. Je crie la fin d’un rêve, je cris la fin du monde. Je crie la fin de l’homme que j’aime et qui s’est planté comme un con, en sortant de boîte, dans sa caisse à cinq cent mille balles qui n’a même pas été foutu de le préserver. Mort sur le coup. Mort. Je crie l’atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend. Je crie ce qu’on a vécu, ce qu’on aurait pu vivre encore. Je crie ce qu’il est. Était. Ce qu’il aurait pu devenir. Je crie ma détresse, ma douleur, mon amour, mon amour, mon amour...
Regarde. Regarde la conclusion néfaste de cycle des représailles. Regarde ce sang qui s'écoule des innombrables plaies n'en finissant pas de s'entasser, les unes après les autres. Abandonnes-toi à cette vision cauchemardesque, celle qui hante tes nuits. Et tes jours. Tu ne peux faire demi-tour, un devoir de mémoire s'impose. Rien ne paraît clair. Une énième crise de panique saisit cette malheureuse adolescente qui lutte pour survivre. Elle aperçoit en tout coin leurs regards monstrueux, inhumains. Et le sien. Celui dans lequel elle plongea son regard pour la première fois, laissant son cœur la guider vers le sien. Elle s'abandonna à lui, lui accorda sa confiance aveuglement. Elle aurait été prête à tout faire pour lui. Pour qu'il la touche, l'embrasse de son regard, de ses lèvres, de son amour. Elle aurait donné la lune pour écouler son éternité avec lui. Elle se serait volontiers livré à ses beaux yeux, et ce, jusqu'aux néants paradisiaques de l'absolution. Elle lui était dévouée, rongée par la naïveté de l'innocence. Il le lui avait pourtant murmuré, au coin de son lit. Il s'était penché sur elle, avait laissé sa main parcourir sa peau en des frissons qu'elle ne put contenir. Sept lettres. Trois mots. Son pire lapsus. C'était à son tour, de suivre les traces de ses géniteurs. De se condamner en un seul et unique impair. Elle aurait pu ne pas le croire, elle aurait pu ne pas croiser son regard. Mais, de sa volonté, il l'avait forcé à lui porter de l'intérêt. Elle aurait pu la vivre sa putain d'histoire d'amour. Celle dont elle rêvait depuis sa plus tendre enfance. Elle s'en était imaginé des scénarios. L'émotion qu'elle ressentirait, la jubilation que cela lui procurerait d'aimer et d'être aimé en retour. Cependant, elle avait négligé un détail. Celui qui vous dénude de tout souffle, vous coupe les vivres, vous martyrise de l'intérieur, vous tue à petit feu, de sa cruauté vengeresse. Ce sentiment de trahison, ce sentiment mortel dévorant son cœur, d'une lenteur sans pareille. Elle a si mal, du haut de son ignorance brisée. Elle se sent dépouillée de tout honneur, tandis que celui qu'elle pensait être l'homme de sa vie, fait tomber le masque en un rire mauvais, celui qu'elle percevait lorsque le grand méchant loup entrait en scène de cette élégance propre, procurant désir et révulsion tout à la fois. Mais, en cet instant, ce qu'elle ressentait pour cette créature transformée, ce n'était qu'un amour abattu, un amour privé, l'amour de celle qui laissa son regard se perdre dans les yeux de la trahison en personne. Impossible de faire marche arrière, coincé entre cet amour perdu, et ce qu'elle considère être tel de la haine. Semblable à une dépouille, elle gît sur le sol de tout son long. Elle sent son souffle la quitter, s'obscurcir, diminuer. Elle parcourt le tunnel de la mort, sans apercevoir la moindre lumière. Non, la lumière n'est plus qu'un souvenir. Un souvenir dans un souvenir, quelle ironie, ne trouves-tu pas ? Son regard paraît comme éteint bien qu'encore alimenté par une faible lueur chevrotante. Elle dépérit à vue d’œil, sous les marques affligeantes des griffes des sbires de son amour. De son amour révolu. À tout jamais. Lui. Il n l'a pas encore marqué. Il ne l'a pas regardé en face. Il n'a pas plongé son regard dans le sien en un rire parfaitement machiavélique. C'est à peine s'il a prit conscience. Il se délecte des cadavres de mes parents, entre la vie et la mort, ils observent les conséquences de ce fatal acte qui leur coûta le futur. Et, tandis que l'artisan de leur affliction s'amuse de leurs malheurs, ils luttent pour survivre, pour se raccrocher à cette lumière verte au bout du couloir. Du coin de son œil injecté de sang, la blonde aperçoit sa sœur, peinant à vivre, à survivre. Ses blessures semblent insurmontables, si profondes, ne laissant d'elle qu'une dépouille ruisselante d'un sang frais. Elle souffre, tente de respirer. Inspirer, expirer, c'est ce qu'elles se disent, l'une comme l'autre. Pourtant, elles ne peuvent les quitter du regard de leurs yeux épouvantés par l'atrocité réalité. Peu à peu, alors que les griffes de son amour illusoire s'enfoncent dans les trachées respectives de ses parents, elle l'aperçoit alors, cette fin inéluctable. Cette lumière qui s'éteint, ce dernier souffle qui retentit dans la nuit noire. Telle une porte qui se ferme. Un cœur qui s'arrête. La fin d'un temps. Le commencement d'un nouveau. Mais, avant qu'ils ne quittent définitivement cette terre, noyés dans leur propre peine, leur bourreau leur offre une toute dernière tirade, une dernière pensée aux allures d'ultime revanche. « Contemplez ma revanche. J'ai tenu ma promesse. La promesse d'un loup qui résonne dans le néant. Souvenez-vous de mon visage entre les flammes de l'enfer. Enfin. Voyez-vous le regard de vos enfants, de vos malheureux enfants qui vous accompagnent dans la mort ? Par votre faute, votre stupide espoir, ce n'est pas deux vies que je prends, mais quatre. Succombez sous le poids de la culpabilité. Votre existence n'aura causé que mort. » Sur ces mots venimeux, ce fut la fin. Impossible pour l'une des deux sœurs de prononcer le moindre mot. Impossible. Impossible. Elle ne cessait de faire tournoyer ses lettres entre ses pensées tourmentées, de laisser une certaine folie s'insinuer entre les profondeurs de son être. Elle observait la démence pénétrer en elle, tandis que les regards vides et éteints de ses parents se plantaient en son pauvre cœur mutilé pareil à deux poignards. Deux dagues étincelantes. Puis trois. Sa sœur. Elle les rejoignit dans la mort. Ne restez qu'elle et sa honte. Sa honte d'avoir apporté sa confiance à un tel monstre. Sa honte. Sa honte. Elle n'avait plus de famille. En l'espace de quelques minutes, de quelques paroles vengeresses, tout destin enjolivé n'était plus qu'un sombre rêve, une chimère des songes. Tout bonnement, une impossibilité à présent reconsidérée. Elle contemplait le désastre. Et entre tes souvenirs embrumés, tu le contemples également, le cœur serré. Elle lutte pourtant pour survivre. Son souffle saccadé, son cœur qui peine à jouer la régularité, ses poumons qui paraissent s'échapper. Ses yeux vagues. Elle résiste, elle dénonce son existence par le biais de ses ressentiments. Elle tente de se relever malgré ses blessures. Elle arpente le sol, traîne son lamentable corps, ce poids inutile à travers ce paysage chaotique, si sanglant qu'il paraît comme dans un rêve. Elle se hisse, se glisse vers l'homme qu'elle haïssait le plus. Elle l'aima de tout son être, comme jamais elle n'aurait pensé aimer. Et à présent, elle le haï de tout son être et bien plus encore. Le cycle de la vengeance n'en est qu'à son commencement. Pas de Roméo et Juliette pour y mettre un terme. Pas de Maria ni Tony. Uniquement un champ de sang, et un dernier survivant, celui-ci, qui, en son cœur, porte le flambeau de la haine, déclarant officiellement une revanche bien fraîche, jubilant, attendant son heure. Le détenteur de mon cœur se pencha sur moi. En un mince sourire indéchiffrable. Pas un rire. De simples paroles susurrées au creux de son oreille mutilée : « Toi, Princesse. Merci pour ton aide, elle me fut précieuse. J'ai pu frapper de l'intérieur, comme je le souhaitais. Je ne te remercierai jamais assez, Aurora. Aussi, en gage de ma reconnaissance, je te laisse la vie sauve. » Et sur ces paroles qu'elle aurait préférait de ne pas percevoir, il se volatilisa, lui et sa meute, laissant la famille Warner baigner dans son idéale défaite...
La violence de la souffrance
On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver.
« Aurora Summer Warner. 15 ans. Pour effraction à la justice, tu es envoyée dans une maison de correction pour mineurs en Californie durant un an. Condamnée à six mois de travail d'intérêt général. » Laissant son jugement résonner à travers les murs de l'audience, la jeune femme se releva sans un mot, blême. Aucune expression ne vint trahir le tumulte de pensées qui s'entremêlaient à travers son esprit révolté. Elle paraissait sereine, déjouant la souffrance, bien que celle-ci, sous les yeux de la vraisemblance, se trouvât être on ne peut plus présente. Tel un automate, elle toléra les menottes ravir ses poignets. Elle se laissa aller, comme toujours. Pourquoi lutter. Elle en avait assez. Elle ne pensait plus qu'à son visage démoniaque, à sa voix tranchante, mais si sensuelle à la fois. De quoi rendre fou. Cependant, petit bémol, elle l'était déjà. Voir chaque membre de sa famille dépérir sous ses yeux ne laisse pas place à une très grande sagesse et raison. Tout au contraire. La folie en profite pour se glisser au creux de votre lit. Et dans le cas de la nouvelle détenue, elle était prête à se laisser faire par cette extravagance grondant en elle. C'était d'ailleurs l'une des rares émotions qui lui permettait de ne pas abandonner à jamais son humanité. Traîné par un policier, aux yeux cernés, exténué par un travail qu'il savait devoir faire jusqu'à qu'une retraite se retrouve miraculeusement sous son nez, elle se contentait d’ignorer le regard satisfaits de ses deux victimes, défigurés dans l'éternité par cette pluie de coups qu'elle laissa s'abattre sur leurs visages trop arrogants à son goût. Elle n'était pas prête de se laisser faire. Elle préférait la violence. Se battre, encore et encore. Cogner. Encaisser. Cogner. Encaisser. C'était toute sa vie, à présent. Sans cela, sans ce besoin dévorant de se battre constamment, elle ne serait plus rien et finirait ses jours sur les rochers alarmants se trouvant sous un imposant pont abritant tant et tant de suicides au cours de l'histoire. Elle adressa un rapide coup d’œil furtif à sa famille d’accueil. Attristés, dépités, elle le savait, c'était bel et bien la dernière fois qu'elle les apercevait. C'est à peine s'ils osèrent plonger leur regard dans le sien. Comme si se perdre dans les iris de l'adolescente susciterait un grand mal au plus profond de leurs entrailles. Elle aperçut la femme, inciter son mari à quitter les lieux. Et ce dernier hochait la tête. Et ainsi, ils disparurent sous les rayons éblouissants d'un soleil maître. Comme toutes les personnes qui entraient dans sa vie, tous se précipitaient vers la sortie sans demander leur reste. Aussi bien ses véritables parents que sa sœur. Que les familles reconstituées qu'elle enchaîna sans même se souvenir de leurs visages. Elle était prête à remplir sa peine. La maison de redressement. Excellent lieu pour évacuer sa colère, et plus que tout, pour se préparer au pire, à l'enfer même. Le meilleur des entraînements, sans le moindre doute...
La vengeance
Et tout à coup tu te rends compte que tout est fini, pour de bon. Il n’y a pas de marche arrière, tu le sens. Et puis après tu essaies de te rappeler à quel moment tout a commencé et tu découvres que c’est plus vieux que ce que tu pensais, bien plus vieux. Et c’est là, seulement à ce moment-là que tu réalises que les choses n’arrivent qu’une fois. Et quelques soient tes efforts, tu ne ressentiras plus jamais la même chose, tu n’auras jamais plus la sensation d’être à trois mètres au-dessus du ciel.
Sens. Sens la douce odeur de la vengeance venir chatouiller tes narines. Sens ces souvenirs qui s'éloignent en un délicat parfum de lavande, mélangé à l'odeur désagréable du sang. Ton nez ressent toutes les saveurs sans exception, ils les notent avec soin, tandis que te voilà en route vers une nouvelle famille d'accueil choisie avec grand soin. Tu le sais, l'heure de ta vengeance a sonné. La tienne. Tu es prête à perdurer la haine animant ton cœur. À jeter de l'huile sur le feu de ce cycle éternel de la revanche. Mais, tu n'es pas assez lucide pour le stopper toi-même. Pour mettre un terme à cette barbarie. Non, tant que l'artisan de tes malheurs ne se retrouvera pas à tes pieds, te suppliant de l'épargner, tu ne seras pas satisfaite. Tant que ta lame ne sera pas imprégnée du sang d'un parfait tueur, tu ne pourras pas vivre, comme ces innombrables personnes qui feignent le bonheur jour après jour. Beacon Hills. C'est ce qu'indique le panneau. Tu y es. La ville de tes représailles. Celle-ci, qui, tu le sais, abrite d’innombrables monstres, semant discordes et atrocités à travers un bain de sang éternel que tu t'empresseras d'essuyer de ton héroïsme certain. Ta main tremble. Tu dévores les kilomètres les uns après les autres. Ils te rapprochent de cet ultime instant où tu savoureras alors la joie de retrouver une vie. Une famille, bien que feinte, comblera cet ambiguë espace te rongeant de l'intérieur. Tu te sens si forte, si jeune. Tu vrilles d'une puissance nouvelle. Une année dans une maison de redressement, et tu es aussi solide qu'un roc. Six mois de préparation à la chasse intensive des créatures surnaturelles, et tu ne penses alors plus qu'à cela. Tu te mouves sur la piste de danse. À présent, c'est toi qui éblouis le devant de la scène, qui devient l'étoile montante. Brille, éclate. Prépares-toi à voir leurs visages cernés par la souffrance. À entendre ces gémissements caressants d'une chaleur parfaite tes oreilles. Sens leur peur, cet effroi les dévorant à l'approche d'une chasseuse loin d'être anodine. Tu as ça dans le sang. Tu es née pour les tuer. Tu saisis à ton tour le flambeau de cette famille méconnue. Tu es prête à tout pour éradiquer l'espèce des loups-garous. Plus qu'une simple vengeance, tu veux le monde, tu veux un tout que tu sais pouvoir serrer entre tes mains. Avant de tuer leur roi, ton but ultime, tu achèves sa cour. Et lorsqu'il sera enfin seul face à la mort, il te suppliera de l'épargner. Et ta victoire hurlera au ciel son comble. Préparez-vous au pire. Tu auras ta revanche. Dans cette vie, ou dans l'autre.
Behind the screen
Pseudo / Prénom : Appelez moi Dieu et ce sera parfait :98: Âge : 10000 années lumières divisées par le cosinus des rayons d'Andromède contre les anneaux de Saturne, le tout multiplié par le nombre d'or. Ainsi mon âge tu trouveras. Tu préfères les cookies ou les tartes aux pommes ? Sérieusement ? :33: Tout le monde m'appelle cookie, alors je ne peux que dire que les cookies ceylavie wesh, à bas les tartes aux pommes :16: :28: :27: /même si c'est bon :24: / Comment t'es arrivé(e) ici : Par télépathie, j'ai suivis l'adresse du fow sur différents esprits et TADAAM :22: /tops sites en fait mais chuuuut c'est un secret :23: / Ton personnage préféré dans TW : Ho hé, celui qui me fait le plus rire j'ai nommé Stiiiles :72: :105: :104: :89: Naaan sérieux il est perfect Fréquence de connexion : Demande à mon ordi, il vérifiera son emploi du temps c'est lui qui décide mon petit panda :92: /mais je dirais le temps qu'il faudra, c'est à dire le nombre de jours où je pourrais passer, à l'heure qui conviendra à mon ordinateur et... on va dire tous les soirs + le week end en fait :10: Une ultime bafouille : /aw gad elmaaaleh :23: / Brefouille, j vous nem déjà jeunes padawans :20: Coeur sur vous& sur votre forum qui gère la fougère :26:
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Dernière édition par Aurora S. Warner le Ven 6 Juin 2014 - 15:50, édité 6 fois
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 2:47
:52: waw. J'ai hâte de lire ta fiche :20: Bienvenuuuuuuuue chez les fous :44: Si tu as des questions, viens harceler le staff
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 11:43
Bienvenue parmi nous !!! J'adore le titre de ton post XD
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 11:49
Dieu te voilà parmi nous /PAN/ J'adore déjà tous le début de la fiche (une folleuuuh owi owi ) et ton titre + ton vava j'ai envie de te dire faisons des gosses Bienvenue en tout cas et hâte de lire ton histoire :17:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 12:20
Daniel > Beau goss en vue :51: Merciiii à toi, promis si j'ai une seule pitite question, j'hésiterais pas à te harceler, tu peux me faire confiance :37: :33:
Aloysia > Ce pseudo de fou je suis en fascination absolue devant Merci pour ton super accueil, pis ton vava :103: :113:
Lydia > Aw gosh merci pour l’accueil et tout ces beaux compliments :89: :93: :62: Ton vava, Lydia, ta sex attitude, et ta fouuulie, t'es trop parfaite, c'est un fait /vise un peu les rimes xD/ :68: :64: sinaaan j'suis pas contre les gosses hein /PAN/
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 16:12
Bienvenuuuuue! Première chose que j'ai vu : ROSE. j'aime les cheveuuuuuuuuuuuux <3 <3 J'ai hâte de voir ton histoire, vu les détails que t'apportes rien qu'a la Identity card! :01: :15: :16:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 18:30
Et bien ça c'est un bon début de présentation, on en apprend des choses.
Par contre, désolé de te décevoir, mais ici Dieu, c'est moi. :13:
Bienvenue parmi nous jolie demoiselle et si tu as la moindre question ou quoique ce soit d’autre le staff est là pour toi :17:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 19:09
Et du Pretty Reckless( et du Sucker Punch) dans ta signa c'est officiel tu veux ma mort !! :19: De rien ! Hanw tant de poésie rien que pour moi , je suis flattée /PAN/ :37: :39: :41: :43: * la choppe dans un coin sombre*
Vous n'avez rien vu :13:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Dim 1 Juin 2014 - 22:47
Bienvenue parmi nous ^^ et bonne chance pour la suite de ta fiche ^^
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Lun 2 Juin 2014 - 0:50
Layla > Merciiiii beauté :26: :42: :22: Finalement, j'ai abandonné les cheveux roses :78: C'est sûr que les cheveux colorés, c'est-juste-trop-magnifique :49: Mais j'ai eu un petit blocage de dernière minute avec la célébrité du coup je me suis permise de changer avant de conclure ma fifiche :23: Mais avooue ils sont beaux mes nouveaux cheveux nan ? :33:
Stiles > *meurt sur place* :22: :23: :24: :29: :59: :104: :105: :113: :112: Stileeeees :104: Ouki je veux bien concevoir que tu puisses être un dieu, parce que Stiles quoi :105: :111: Merciii à toi, et promis si j'ai une seule question, je viens harceler le staff de foulie :103:
Lydia > Nan loin de moi l'idée de ta mort :103: je sais je sais tant de classe en moi, et de poésie rien que pour toi :39: :20: :19: :72: :98: /sbaff/ Vive les coins sombres surtout avec toi :37: :39: :33: :41:
Chloé > Merci princesse :89: :93: Ton vava au fait :16: :17:
Let's go j'ai une fiche sur le feu jeunes padawans :47: Je devrais la finir soit dem soir, soit après dem soir :67: /là je vais ronfler dans mon lit bien douillet après avoir raconté ma vie en smiley :13: /
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Jeu 5 Juin 2014 - 20:29
:02: Ta fiche elle est géniale ! :10:
J'ai quasiment rien à r'dire dessus Le seul truc qui me bloque, en fait, c'est l'histoire du loup qui a tué ta famille, et qui est à BH. En lisant ton histoire, je suppose que tu comptes en faire un scénario histoire de pouvoir le traquer tout ça tout ça Mais vu qu'on a fermé pour le moment le groupe des loups-garous aux personnages inventés, baaah tu vois où se situe le problème ? Donc, c'est simplement pour savoir si ce loup en question est vraiment important vis-à-vis de ton évolution en RP :44:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Jeu 5 Juin 2014 - 20:55
Damn it !... Me faut un fucking lien pas possible !
Déjà parce que ton titre il décape sa maman en string léopard !
Ensuite tu déboîte et de trois... Rhoooo je vais pas te taper l'encyclopédie si ? ><
En tout cas welllllcomeuh :16: :10: :22: :20:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Ven 6 Juin 2014 - 0:03
Daniel > Aw merciii d'avoir eu la patiente de la lire & pour ton compliment :26: :105: Ah ouiii pour ce petit bémol, c'est sûr que mon personnage est particulièrement axé sur sa vengeance, mais je pense que je vais dériver la fin du coup, suite à ce petit changement qui n'est rien de très grave :113: Ma petite Aurora vient donc à Beacon Hills pour améliorer son entrainement, tuer le plus de loups au passage, attendre sa majorité avant de partir à la recherche du loup & faire quelques recherches sur la position de sa cible première, qu'elle ne trouverait pas avant... un nouveau changement quant à la condition des groupes :98: Je m'empresse de changer tout ça & s'il y a un autre lapsus, je m'en occuperais dans la seconde :44:
Derek > Oh my gosh, un nouveau dieu en puissance Dereek :87: :103: :105: Merciii pour ton accueil de foulie :72: Promis dès que je suis validé je viens envahir ta fiche de liens avec ma magnifique bouille hé hé :67:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Ven 6 Juin 2014 - 13:29
C'est vrai que ta fiche est géniale. Par contre moi y a quelque chose qui me dérange un peu, mais je chipote. C'est pour "Ses victimes l'appellent Shadow" si j'ai bien compris elle n'est pas du genre à laisser ses proies vivantes alors comment peut elle avoir un surnom ? Petit détail. ^^'
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Ven 6 Juin 2014 - 15:48
Lalalala, j'ai mis ça moi ? :33: Ah ouais maintenant que j'y pense y a pas de logique xD Hé c'était tard quand je l'ai mis, on me pardonne :13: Je vais changer ça dans la seconde :17:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Sam 7 Juin 2014 - 16:40
C'est rien de bien grave, mais ça m'a tilté quand j'ai lu ta fiche. T'inquiète on fait tous des erreurs quand il est tard xD
Tu as fais les changements demandé par Dandan ?
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Sam 7 Juin 2014 - 19:25
Positif mon général, tout est fait :05:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Sam 7 Juin 2014 - 19:46
Validez moi cette bounasse !!!!! :16: :16: :16: :16: :16: :16: :16: :16: :16: :16: :16: :16:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Sam 7 Juin 2014 - 20:08
Validation
« Félicitations, tu fais partie des nôtres maintenant »
YEAAAH te voilà validé, c'est pas beau ça ?
Maintenant que t'es devenu un membre à part entière, avec ta couleur, tout ça, tout ça. Il est temps que tu te sociabilise, alors n'hésite pas à poster ta fiche de liens ou même ta fiche rp.
N'oublie pas non plus de recenser ton avatar, de faire une demande pour un toit et surtout HAVE FUN !
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes. Sam 7 Juin 2014 - 20:12
Yeeeeeaaah merci ô grand Stiles :17: Tant de classe en moi avec ma nouvelle couleur :33:
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Sujet: Re: Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes.
Aurora ✗ excusez-moi du retard je me suis faite attaquer par des pokémons dans les hautes herbes.