Invité | Sujet: Riley B. Jenkins ♣ I despise common sense. I've seen the world from every possible angle. This cruel... Ridiculous... Beautiful world. Mer 25 Nov 2015 - 19:30
| Riley Blue Fleur Jenkins❝ How can emptiness be so heavy ? ❞Prénom(s): Riley Blue Fleur : elle ellipse toujours son troisième prénom, choisi par son père. Les deux premiers, d'origine Britanniques, choisis par sa mère, sont sa fierté. ♦ Nom : Jenkins (Nom de son Père, Américain) - elle préfère se faire appeler Hepburn, nom de famille de sa mère, Britannique) ♦ Age : 17 ♦ Nationalité : Britannico-Américaine ♦ Métier/étude : Lycéenne, 11th Grade, Junior Year ♦ Orientation : Touche à tout? ♦ Particularités : Banshee / Dispose d'une Intelligence bien supérieure à la normale / Virtuose et Artiste ♦ Groupe : Those we don't know yet ♦ Avatar : Tuppence Middleton
| | Lettre A, Ambiguë, Artiste, Audacieuse, Anticonformiste. L'était-elle réellement? Elle avait bien du mal à se définir elle-même, et jamais personne n'avait réussi à la comprendre. C'était peut-être la preuve qu'elle était une personne Ambiguë. Le fait qu'elle soit une Artiste n'avait échappé à personne, elle passait son temps à dessiner; et elle était bien plus douée que n'importe qui, bien plus douée, surtout, que sa professeur d'Arts. Audacieuse et Anticonformiste : certainement, elle qui était une petite rebelle dans l'âme, elle qui voulait voir les choses changer ; elle qui était choqué par ce monde de merde. ♦ Lettre C, Contemplative, Créative, Cultivée, Cynique. Elle sourit en lisant le dernier; indeed, il lui allait très bien. Elle était de nature à se perdre dans ses pensées, à perdre des heures à regarder la même oeuvre d'art, à appuyer sur le bouton replay de la même vidéo. Elle ne perdait pas son temps, elle se développait, elle se créait. Créative, oui, évidemment : sa vie n'était qu'une longue tragédie, une longue pièce de Théâtre, dont elle n'arrivait pas à discerner les actes et les scènes, tant tout lui semblait n'être qu'une longue comédie. Life's a joke. Cultivée; les auteurs classiques, les moins mainstream, elle aimait se frotter à tout, tout écouter et tout savoir. Elle écoutait, lisait, et regardait de tout; elle ne vivait que de Savoirs. Cynique? Elle était Madame Punchline, celle qui se protégeait derrière un Cynisme omniprésent, ne sachant pas comment... "deal with human beings". L'Anxiété Sociale, quelle douce mais dure maladie. ♦ Lettre D, Débauchée, Désintéressée, Distraite, Douce. Cela pouvait sembler paradoxal, mais c'était bien le cas. Elle se considérait elle-même comme une Débauchée : elle était une ratée, pour le monde entier. Elle ne vivait que pour décevoir les attentes des autres. "Tu me déçois". Elle détestait ces trois mots, trois mots qui ne devraient pas exister. C'était la chose la plus terrible qu'elle pouvait entendre. Désintéressée, oui ; elle n'était pas cupide, elle se fichait des possessions, de la gloire, elle qui rejetait ce monde. Distraite : Contemplative, dirons-nous. Douce ? Oui, avec les personnes qui savaient entrer son univers, sa comfort zone. ♦ Lettre E, Emotive, Enigmatique, Expressive. Elle se laissait bien souvent guider par ses émotions et non par sa raison ; d'où le fait qu'elle haïssait tant ce monde, monde de raison et de rationalité, déshumanisé et dénué de passions et d'émotions. Véritable riddle, Riley était une personne théâtrale, aimant la mise en scène. Parler avec énigmes, orchestrer les choses, faire de la vie une immense oeuvre d'art, un grand musée où se confondaient Littérature, Image, Musique. Et elle était expressive : une femme qui aimait parler, chanter, écrire, composer, filmer. Elle aimait dire "Je". ♦ Lettre F, Fidèle. Lettre G, Gentille. Elle n'était pas celle qui trahissait les autres, celle qui les trompait, celle qui les manipulait. Non. Elle n'était pas de ce genre; elle aimait croire en les Hommes. ♦ Lettre I, Imaginative, Impulsive, Insolente, Ironique. Elle n'était pas Imaginative : elle était clairement Super Imaginative. Une femme qui pouvait s'imaginer un Jedi arriver en plein cours pour la délivrer de tous ces malheurs. Impulsive, oui : du genre à se mettre en colère, à s'énerver à la moindre injustice. Insolente, rebelle à l'autorité. Ironique, voile de protection. ♦ Lettre J, Jalouse, Joueuse. Elle pourrait faire n'importe quoi, pour les personnes qu'elle aime ; et ce qu'elle considérait sien n'existait pas pour les autres. Ce qui lui appartient n'appartient qu'à elle. Joueuse ? Va de pair avec son Cynisme, son Ironie et son Sarcasme. ♦ Lettre L, Logique. Lettre M, Mélomane, Modeste. Une femme qui sait réfléchir, une femme qui comment penser, qui sait résoudre les problèmes des autres, douée en Mathématiques. Une femme qui utilise ses dons pour composer ; une artiste si originale et si étrange.. mais qui n'avouera jamais à quel point elle est douée - car elle ne s'imagine pas si douée. Pour elle, ce n'est qu'un passe-temps. ♦ Lettre N, Nerveuse, Lettre P, Passionnée, Possessive. Une véritable boule de stress, incapable de trouver son calme. Une femme qui n'existe que pour l'art ; sa Passion, et pour aider les autres, sauver le Monde : une Passionnée. Possessive, oui, elle est Jalouse, n'est-ce-pas ? ♦ Lettre R, Rebelle, Romantique. Dois-je expliquer ? Elle est une véritable icône de la Rébellion à l'Autorité. Et, en même temps, une femme qui vit dans ses bouquins, ses livres, une femme qui croit encore à l'Amour, le vrai. ♦ Lettre S, Sarcastique, Sensible, Simple, Solitaire, Surprenante, Susceptible. "Sarcasm is my only defense". Une femme qui vit de ses sens (oh, encore plus que n'importe quel être humain, puisqu'elle n'est pas humaine), qui écoute son coeur, et qui a tendance à pleurer ou crier pour n'importe quoi. Une femme qui vit d'un rien, seule ; trop peur des autres êtres humains : si Susceptible, et si Surprenante, qu'elle fait peur aux gens, qui préfèrent l'éviter, de peur de la froisser. ♦ Lettre T, Taquine, Tendre, Tolérante. Lettre V, Vraie. Une femme qui a de quoi répondre à tout, qui sait parler. Une femme qui aime aimer. Une femme qui n'a aucun problème avec n'importe quoi - elle est tellement unique, elle-même. Et, enfin, une femme qui est elle-même, en toutes circonstances. ♦ Souffre d'hyperactivité, de trouble déficitaire de l'attention, d'insomnies ♦ Fume. ♦ Se drogue (ce qu'elle pense être la cause des voix qu'elle entend). ♦ Souffre de Synesthésie : elle voit les sons. Se couple à son pouvoir de Banshee : non seulement elle entend les voix, mais elle les voit. Cela ne la rend pas plus puissante, non ; simplement plus unique... et plus folle.
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Once upon a time« Child of misfortune, your sin is your very existence. - Just existing is not a crime. » Riley Blue Fleur Jenkins naquit à Londres le 24 Juin 1997, d'un père Américain et d'une mère Britannique. Elle vécut la majeure partie de son enfance en Angleterre, dans la Capitale. De ses souvenirs, tout là-bas était un rêve, un paradis qui ne pouvait pas s'éteindre ; après tout, ne dit-on pas "when a man is tired of London, he is tired of life" ? Ce fut donc à Londres qu'elle apprit à vivre et à exister, à parler, à écrire, à aimer, à réaliser, à jouer. Si elle avait décidé, elle y serait resté à jamais, elle aurait, comme Peter Pan, voulu rester une enfant, à jamais. Elle avait si peur de grandir, même dès son plus jeune âge. Elle avait peur du changement, de voir le monde se dérober sous ses pieds. Elle n'a jamais réussi à apprécier son père ; il lui faisait peur. Un homme violent et sarcastique, non pas par humour ni par envie d'alléger l'atmosphère, mais simplement par pure envie de rabaisser les autres, de montrer à quel point il leur était supérieur. Elle détestait cela. Si elle tient ce sarcasme de lui, elle sait bien qu'elle l'utilise différemment ; c'est de lui que vient sa peur des Hommes; c'est à cause de lui qu'elle a peur de parler et de s'ouvrir aux autres, tant il l'a blessée durant son enfance. Elle avait toujours une enfant un peu étrange, un peu bizarre, weird, awkward : celle qui avait toujours de l'avance. Elle avait toujours été la première de la classe, celle que les professeurs préféraient. Elle était logique, comprenait les problèmes et savaient les résoudre ; elle était douée en Mathématiques, comprenait les Sciences et savaient les appliquer, elle cernait les problèmes de l'Histoire et de la Géographie, de la Géopolitique, elle savait l'importance de parler plusieurs langues pour comprendre les autres, et, plus que tout, elle était douée pour les Arts. Sa plume, son pinceau, ses doigts, tout était fait or ; ses professeurs de chant, de musique, de piano, de guitare, étaient tous jaloux d'elle, car elle était bien plus douée qu'eux, et ce, même dès la première leçon. En sus de son intelligence, elle avait toujours été un peu hyperactive, voire même beaucoup selon les périodes. Ses nerfs prenaient souvent le dessus sur elle, et seule sa mère parvenait à la calmer. C'est grâce à cette perpétuelle pulsion qui s'insinuait en elle qu'elle devint si curieuse ; elle devait s'occuper, toujours, elle détestait ne rien faire. Elle lisait, jouait, composait, écrivait ; elle développait ses talents, elle se donnait naissance une seconde fois. Ce n'était jamais assez : elle n'aimait ce qu'elle faisait, et s'entraînait toujours plus, quitte à se blesser. L'insomniaque qu'elle était aimait vivre la nuit, apprendre encore plus. Ce mode de vie ne la lâcha jamais vraiment... Mais il y a avait toujours eu quelque chose d'étrange en elle. Quelque chose qui l'éloignait de son père mais la rapprochait de sa mère. Elle voyait ce qu’elle entendait. Elle pouvait donner à chaque être humain une couleur ; oui, c’est ça, elle voyait les Couleurs. Pas les couleurs, non, les Couleurs : elle fut diagnostiquée de Synesthésie ; elle pouvait voir les sons en couleurs. Elle pouvait voir les couleurs des notes de musique, par exemple. Lorsqu'elle était enfant, cela ne la dérangeait pas, elle pensait et trouvait ça normal. Mais lorsqu'elle devint adolescente, elle comprit qu'elle était complètement différente des autres. Ils ne voyaient pas comme elle, ils ne voyaient pas les choses qu'elles voyaient. Son père se moquait d'elle, mais sa mère la comprenait. Elle disait voir les mêmes choses, elle aussi, elle disait entendre les murmures de la vérité qui résonnaient dans sa tête. Elle se disait ‘’lost in the echo‘’. Aussi loin qu’elle puisse réfléchir, elle se souvint avoir commencé à entendre certaines choses en Juillet 2005, alors qu’elle avait 9 ans. Elle avait vu, pour la première fois, une couleur particulière, et avait entendu une tonalité particulièrement horrible. Alors qu’elle se trouvait avec sa mère, qui subissait le même phénomène – mais avait appris à le contrôler – elle se boucha les oreilles de ses deux petites main, et hurla. Un cri terrible, qui glaça le sang de tous les passants. Au loin, elle vit du Noir ; pas de la fumée, mais simplement la couleur, qui s’envolait au ciel. Sinistre présage ; elle entendit une bombe exploser. En sûreté, ramené par sa mère chez elle, elle comprit ce qu’elle avait vu et entendu : un évènement désormais tristement connu. Les Attentats de Londres. Son enfance se déroula sans accroche, hormis ce passage. Puis… Lorsqu'elle entra au Lycée, elle apprit que sa mère était malade. Une maladie qui l'emporta rapidement, alors que Riley n'avait que 15 ans, en classe de Sophomore. Ce fut un choc : sa mère, Elizabeth Jenkins née Hepburn, la personne qu'elle aimait le plus au monde, venait de disparaître, brutalement. Elle en fut dévastée. Elle dut trouver un moyen de supporter cette peine et cette douleur. Et c'est à ce moment qu'elle commença, tout doucement, à sombrer dans les profondeurs. Elle s'essaya à la drogue, elle commença à fumer. La belle " Fleur " qu'elle était, que sa mère – et son père – aurait aimé qu'elle soit, se fana. La belle British fut forcée par son père de quitter son pays natal, sa Londres, sa ville, son Paradis, pour rejoindre les Etats-Unis. Là-bas, elle se perdit, encore une fois ; son talent se gâchait, elle se perdait dans les clubs, dans les boites, dans ce monde si urbain et si dangereux pour une jeune demoiselle, inconsciente de ce qui l'entoure. Elle écrivit ceci, alarmant grandement ses professeurs et son père : Devoir de Littérature et d'Expression Ecrite ‘’ Exprimez ce que représentent les lettres. ’’ “ Je hais les lettres. Je n’ai rien à faire ici. Je hais les lettres, davantage que le soleil et la lune, que le jour et la nuit claire, davantage que votre bonheur. Le A m’écœure, particulièrement. ‘’ Amours, amants, amantes’’, amis et âme; anorexie, acidité, aigreur et amertume; attente, année, et aller-sans-retour; aide et autrui; aurore. L’ antithèse anonyme, auteure de mon propre anéantissement. L’ allégorie m’ agresse; l’ anarchie m’ aliène. Ses accords m’ assomment, ses ambitions m’ assassinent. Amnésie, si seulement j’ avais l’ avantage : abolir mes angoisses anciennes autant qu’ actuelles. Au-delà, si seulement l’on m’ autorisait à apposer les armes. Amenez-moi ailleurs, aux antipodes de cette aube atroce appelée art. L’ apocalypse m’ apparaîtra aérienne; m’ apaisera alors. Le A m’écœure, particulièrement, ainsi que ses vingt-cinq sœurs. Elles représentent l’espoir. Mon prénom. Elles gardent précieusement la beauté du monde, les dernières touches de couleurs d’un tableau en noir et blanc. Elles m’empêchent de sombrer dans des profondeurs trop obscures. Elles me retiennent prisonnière d’un malheur qui me ravit, m’éloignant de ce dernier voyage magnifiquement tragique. Elles sont cette corde, passée autour de mon cou, qui m’écorche avec délice avant de me trahir. J’existe par elles. Par elles, je ne peux vivre. Je n’ai rien à faire ici. Je hais les lettres. Je les hais autant que je les aime. Du plus profond de mes entrailles. ” On alla lui faire consulter un Psy ; elle lui parla de la douleur de la perte de sa mère ; elle lui parla des couleurs et des voix, il l’abandonna. Elle continua à aller en cours, mais ponctuellement. Ses professeurs se plaignaient de son attitude rebelle, de comment elle se comportait, mais il ne pouvait rien faire : elle était leur meilleure élève. Même sans assister aux cours, elle savait. Elle était... intuitive. Elle fêta ses seize ans, et passa haut la main les examens des Sophomores, devenant une Junior. En plein durant l’année scolaire, alors qu’elle venait de fêter ses dix-sept ans, incompréhensiblement, elle fit tout pour se faire exclure de son Lycée. Son père dut déménager, la forçant à l'amener dans une nouvelle ville, nouvelle ville qu’elle suggéra elle-même. Il était Avocat, et il trouva un cabinet libre dans une ville : Beacon Hills. Elle ne savait pas pourquoi, mais quelque chose semblait vouloir la conduire là-bas. "La lumière du phare, peut-être", se disait-elle souvent, en riant. La voilà à Beacon Hills, la voilà face à son destin, sans guide...
Behind the screen Pseudo / Prénom : Riley, Slifer, Dylan... Choisissez ! ♦ Âge : 18 ♦ Tu préfères les cookies ou les tartes aux pommes ? Les Cookies domineront le monde ♦ Comment t'es arrivé(e) ici : "Teen Wolf RP" sur Google, vous êtes tombés au bout d'un moment ! ♦ Ton personnage préféré dans TW : Stiles premier et de loin (j'ai un crush, un amour passionné et réel bien trop dangereux pour Dylan O'Brien MAIS SURTOUT pour le caractère de Stiles ; j'aimerais lui faire un câlin pour qu'il oublie tous ses soucis...), deuxième Lydia. ♦ Fréquence de connexion : Everyday, clairement. Peut-être plus difficilement le Mardi, car c'est ma pire journée de cours. ♦ Une ultime bafouille : Bisous à tous!♥ Et Dylan O'Brien est le meilleur acteur au monde. =) CODAGE DE © MRS HYDE
Dernière édition par Riley B. Jenkins le Jeu 26 Nov 2015 - 15:38, édité 4 fois | |