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Talkers are not doers ♦ ft. Stiles

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MessageSujet: Talkers are not doers ♦ ft. Stiles Talkers are not doers ♦ ft. Stiles EmptyLun 11 Jan 2016 - 16:45
Talkers are not doers

L
a journée touchait à sa fin. Peu d'étudiants étaient encore à la bibliothèques. Peu d'entre eux viendraient après les horaires de fermeture du lycée. C'était donc le moment idéal pour commencer à ranger. Armée de son petit chariot, Lux passait entre les rayons et entre les tables pour récupérer les livres abandonnés sur place. Parfois, il n'y en avait qu'un, posé au coin d'une table. Parfois, il y avait toute une pile de bouquins, laissés sur les marches de l'escalier. Certaines fois, les livres étaient fermés, prêts à être rangés. D'autres fois, ils étaient ouverts en grand, comme si ceux qui les avaient consultés étaient partis en vitesse. Mais il y avait toujours une constante. A la fin de son tour de la bibliothèque, son chariot était plein et beaucoup plus lourd à pousser et à manœuvrer qu'au début.
E
lle faisait toujours sa ronde en deux parties. D'abord les étages du haut, et ensuite ceux du bas. Généralement, rares étaient les livres abandonnés en haut qui se rangeaient en bas. Ce jour-là, pourtant, elle trouva presque une dizaine d'ouvrages qui n'avaient pas leur place en haut. Pinçant les lèvres, elle observa son chariot avec un air résigné. Puis elle le fit glisser jusqu'au monte charge avant de descendre les escaliers, et de le récupérer en bas. Le cliquetis de ses bottes à talons aiguille frappant sur le carrelage était pratiquement le seul bruit qu'il y avait dans les lieux, si on omettait le brouhaha des conversations au-dehors qui rentraient soit par les fenêtres ouvertes, soit par les portes de la place.
P
rofitant de ce relatif silence, la brunette se mit à chantonner doucement une comptine qui lui tournait dans la tête depuis un moment. Quoique... Était-ce une comptine, ou bien l'une de ses chansons apprises en cours de musique au collège ? Elle se souvenait du texte, et des paroles, mais elle serait bien en peine de retracer l'historique du chant et de refaire les morceaux de flûtes qui devait accompagner chacun des trois couplets. La comptine, ou quel que soit son genre, s'intitulait La Princesse de la Nuit.
« Elle allait le long des chemins..., chantonnait-elle en avançant entre les rayonnages pour trouver les livres abandonnés sur le sol, ou mal rangés. Elle partait du soir au matin... Un jour, peut-être, la rencontrerais.... Et alors, je lui conterais... »
S
a voix légèrement rauque ne portait pas tellement, en temps normal, mais avec le silence relatif de la bibliothèque, elle devait s'entendre un peu quand même. Passant une main dans ses cheveux pour chasser une mèche rebelle qui s'était posée devant ses prunelles bleu acier, la bibliothécaire s'interrompit dans son chant le temps de râler sur un individu qui avait remit un livre à l'envers dans les étagères. Elle s'essuya les mains sur son jean autrefois noir et maintenant délavé, avant de remettre l'ouvrage correctement à sa place.
C
ontinuant son tour, elle s'approchait maintenant des tables quand elle remarqua la silhouette penchée d'un lycéen qu'elle connaissait plutôt bien. Stiles Stilinski. Un instant, elle se demanda si c'était réellement son prénom, ou bien si c'était un surnom. Puis elle haussa les épaules et ramassa la pile de livres qu'elle trouva sur une table. Machinalement, elle fredonnait encore l'air de sa chanson quand elle se rendit compte que le garçon avait l'air plutôt perturbé. Perturbé ? Dépité plutôt. Fatigué peut-être ? Il est vrai que certaines journées de cours étaient éreintantes, surtout quand il y avait le cours de sport. Intriguée, elle décida de s'approcher pour s'enquérir de son état. Stiles n'était pas vraiment un garçon qui tenait en place, en temps normal. Mais il semblait étrangement apathique, parfois, ces derniers temps.
« Stiles ? Est-ce que vous allez bien ? »
E
lle laissa le chariot à quelque distance pour venir se poster en face de lui, un sourire affable au coin des lèvres.
« Je vois que l'on s'est rendu à mes arguments, finalement. Les livres, c'est toujours mieux que l'internet, non ? Taquina-t-elle doucement, faisant ainsi référence à leur point de vue différent sur ces sujets. »
M
ais si elle montrait cette façade pétillante et malicieuse, Lux n'en était pas moins concernée par l'état du garçon. Il semblait perturbé, perdu entre plusieurs livres qui étaient ouverts et étalés autour de lui.
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MessageSujet: Re: Talkers are not doers ♦ ft. Stiles Talkers are not doers ♦ ft. Stiles EmptyVen 22 Jan 2016 - 15:00

❝ Talkers aren't doers ❞
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did you know the sun, was made out of our cries, each tear we drop is gold and this is how it shines. arm your eyes, to see through mine...
Le lycée, toujours le lycée. Encore et encore, inlassablement la même rengaine. C’est la première fois que tu te rends compte à quel point ta vie peut se répéter jour après jour. S’en serait presque déprimant, si seulement tu n’avais pas d’autres choses auxquelles penser ces derniers temps. Non, parce que bon, Beacon Hills a beau être un peu plus calme depuis le départ des alpha et de l’autre tarée de Jennifer, ton petit voyage à travers la mort a laissé quelques petites traces chez toi et tes amis. Deaton a beau t’avoir prévenu, ça reste plutôt fatiguant. Tu te demandes surtout comment tu vas faire pour arranger ça. Non, parce que pour le moment tu n’as trouvé aucun document sur la façon dont on rebouche une faille dans son esprit. Se serait bien trop simple dans le cas contraire.

En attendant, tu essayes de recoller les morceaux de puzzle qui composent ta vie ces derniers temps. Plus les jours passent et plus tu as l’impression de perdre pied, ce qui est plutôt perturbant quand on y pense. En temps normal, c’est toi qui résout les problèmes des autres, c’est d’ailleurs un peu ton rôle dans la meute. The clever boy Et là, t’es incapable de régler tes propres problèmes. C’est un comble. Ce n’est pas faute d’essayer pourtant. Seulement, tu es incapable de passer outre ton incapacité à te concentrer - bon, pour un hyperactif ce n’est pas une grande nouveauté - mais jusqu’ici tu t’es toujours débrouillé pour au moins te concentrer pour pouvoir lire. Ces derniers temps, ce n’est plus vraiment le cas. Tu t’es réveillé un matin avec l’incapacité de lire quoique ce soit. Ce qui est plutôt handicapant pour un lycéen. Alors t’essayes de donner le changes en cours, mais ça t’inquiètes. Tu demandes ce qui t’arrives.

Alors, pour essayer d’arranger ça sans inquiéter personne tu passes à la bibliothèque après les cours pour te forcer à te concentrer. À cette heure là, il n’y a personne pour venir te déranger. Puis faut dire que ces derniers temps ce ne sont pas tes amis qui t’étouffes. Scott disparaît souvent sans que tu saches vraiment pourquoi et Allison est préoccupée par sa tante qui la hante. Il s’avère donc que tu as beaucoup de temps pour toi seul. Ce qui n’est pas forcément pour te plaire quand on y réfléchit bien. Stiles Stilinski n’est pas vraiment du genre solitaire.

Entouré de bouquins divers, tu te pensais tranquille jusqu’à ce qu’une fois vienne déranger tes efforts. Le visage entre les mains, épuisé, tu relèves la tête vers la source de cette interruption sonore. Lux. La bibliothécaire, il fallait s’en douter, il n’y a pas bien qu’elle pour se balader à travers les rayons à une heure pareille. Tu hoches la tête à sa question. Est-ce que tu vas bien, bien sûr, peut-être qu’à force de le répéter, tu vas finir par y croire toi aussi. Qui sait. Tu écoutes à peine ce qu’elle a à te dire, l’esprit ailleurs. « Je suis désolé pour tout ce bordel, je rangerais promis » lâche-tu alors que tu rassembles déjà les quelques ouvrages qui se trouvent devant toi. De toute façon, tu arrives à peine à les déchiffrer alors bon ça ne sert à rien de s’acharner. Tu ferais mieux de rentrer chez toi. Seulement, c’est plus fort que toi, tu dois continuer à chercher. « Vous n’auriez pas des livres traitant du folklore asiatique ? » ta demande est simple, mais tu te sens obligé de te justifier « J’ai quelque chose à rendre là-dessus en littérature et j’aimerais bien m’y prendre un peu à l’avance. » c’est que tu parais presque crédible. Le mensonge t’as ça dans le sens. Quoiqu’il arrive, tu dois en apprendre plus sur la raison pour laquelle les onis tournent autour des habitants de Beacon Hills et surtout apprendre comment tu peux t’en débarrasser. Tu ne fais pas vraiment confiance en cette Kira et tu préfères mener tes propres recherches. On ne peut pas t’en vouloir de chercher une solution. Tes amis sont certainement en danger et tu ne peux pas rester les bras croisés, ce n’est pas ton genre.
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MessageSujet: Re: Talkers are not doers ♦ ft. Stiles Talkers are not doers ♦ ft. Stiles EmptySam 23 Jan 2016 - 13:06
Talkers are not doers

I
l semble à peine surpris par son interruption. Il est vrai que peu de personnes restent aussi tard à la bibliothèque, à part lors des semaines qui précèdent les examens. Lux est l'une des seules à s'attarder aussi souvent le soir, il est donc logique de s'attendre à sa présence. Et puis, après tout, elle est la bibliothécaire du lycée. Il serait tout de même étrange qu'elle n'y soit pas. Mais elle balaye ses pensées d'un geste de la main, pour remettre une mèche en place derrière son oreille. Il répond par un vague hochement de tête à sa première question, et la brunette croit déceler une lassitude dans laquelle les études n'y sont pour rien. Elle garde ses impressions pour elle, toutefois, et balaye aussi les excuses pour le bazar étalé sur la table. Ça ne la dérange pas de ranger après. C'est, au contraire, avec une certaine joie qu'elle le fait. Car cela prouve que les jeunes d'aujourd'hui ne sont pas que fascinés par le sport ou la télé. Qu'il y en a encore qui aiment apprendre, se cultiver et travailler dur pour cela. Revenant au jeune homme, elle s'intéresse à la suite avec un regard curieux.
L
e folklore asiatique, hein ? Elle dissimule un sourire amusé alors qu'il prétends faire cela pour un devoir de littérature. Si elle n'avait pas déjà entendu Scott parler des Oni, et si elle n'avait pas elle-même mené quelques recherches, elle aurait pu y croire. Car il faut dire que Stiles était capable de faire passer un mensonge pour une vérité sans que personne ne se doute de rien. Mais ça, c'était quand la personne n'était pas au courant. Malgré tout, elle joue le jeu sans remords. Si ça l'aidait à se sentir un peu mieux, elle pourrait même avaler que le président actuel était un mordu des danses amérindiennes et qu'il organisait des soirées secrètes pour s'adonner à sa passion.
« Le folklore asiatique ? C'est marrant que vous posiez cette question, j'ai justement commandé quelques nouveaux ouvrages pour la bibliothèque, sur ce sujet. Je les ai reçus dans la journée, mais ils ne sont pas encore en rayons, lâche-t-elle avec une pointe de malice au fond de ses prunelles céruléennes. Je met toujours un point d'honneur à lire les nouveaux arrivages avant de les ranger, pour pouvoir aider au mieux les étudiants et être certaine qu'il s'agit bien de ce que j'ai commandé. »
P
osant la paume de sa main sur les ouvrages qu'il a rassemblé devant lui, la jeune femme lui dédie un sourire lumineux et rassurant. Comme une grande soeur, ou comme une mère. Il faut dire qu'elle apprécie beaucoup le jeune Stilinski. Quand elle le voit, elle repense à ce qu'elle était, à son âge. Elle repense aussi à l'innocence qu'elle avait perdu, à celle qu'elle gardait encore. C'était une période heureuse, pour elle, même si l'intégration dans un nouveau lycée en cours d'année, et le changement de pays, était assez compliquée pour tout adolescent qui se respecte. Elle n'avait pas eu trop de mal, cela dit, et elle avait réussi à se faire accepter assez vite. Elle était, certes, "la nouvelle", mais peut-être que le fait qu'elle arrive tout droit de France avait rendu son intégration plus facile. Elle représentait un certain exotisme, un défi sans doute. Certains de ses camarades l'aidaient à améliorer son anglais, déjà plutôt bon pour une jeune française. Ils l'aidaient avec son accent, et avec les termes plus familiers. Après tout, elle avait appris un anglais plutôt scolaire et, dans la vie de tous les jours, ce n'était pas toujours évident de s'y retrouver.
« Ne vous en faites pas pour ces livres, Stiles, ça ne me dérange pas de les ranger après votre passage. Toutefois, si vous voulez vraiment aider, il y a le chariot des livres à remettre en rayon un peu plus loin derrière vous. Vous pouvez y laisser les livres pendant que je vais vous chercher les nouveaux arrivages. Ou bien, si vous le désirez, vous pouvez les emprunter, et j'enregistrerais cela avant de partir. »
S
es doigts glissèrent sur la couverture du livre du dessus de la pile alors qu'elle se redressait pour partir en direction de son bureau. Le bruit de ses talons claquait régulièrement contre le sol, sans toutefois être une nuisance. La semelle, en effet, était en métal mais recouverte d'un plastique qui atténuait le claquement.
P
assant derrière le comptoir, la brunette consulta ses registres d'un œil expert et lu les numéros sur les quelques cartons qui étaient sagement rangés dans une étagère, en attendant son bon vouloir pour les ouvrir et les mettre en rayon. Elle attrapa celui qui l'intéressait. Armée d'un cutter qu'elle avait pris dans un tiroir, la bibliothécaire coupa le scotch qui maintenait les pans du carton en question pour l'ouvrir. A l'intérieur, bien emballés dans un papier bulle et dans un plastique protecteur, il y avait quatre livres assez épais traitant du sujet qui intéressait Stiles et ses amis. Satisfaite, elle posa le cutter à l'intérieur et elle attrapa le carton pour revenir vers la table qu'occupait son protégé. Elle tira une chaise, s'installant d'office avec lui sans lui poser la question. Sans lui demander son avis.
E
lle était comme ça, Lux. Volontaire, franche, et déterminée. Elle ne doutait pas un seul instant qu'il puisse ne pas vouloir de sa compagnie et préférer un peu de solitude. De toute façon, elle ne lui laissait pas vraiment le choix. Il devait l'avoir compris, au fil des semaines qui s'étaient écoulées depuis son arrivée.
« Vous allez avoir la primeur pour ces ouvrages. N'est-ce pas fantastique ? »
U
n petit rire glissa hors de ses lèvres pleines tandis qu'elle sortait un à un les quatre livres du cartons et qu'elle les étalaient sur la table en face d'eux. Son côté obsessionnel la poussa à les aligner correctement avant de poser le carton sur une chaise non loin d'elle. D'un geste adroit, elle joua avec le cutter (dont la lame était soigneusement mise en sécurité) et le fit passer entre ses doigts à la manière d'un cow-boy jouant avec son colt. Haussant les sourcils d'un air entendu en jetant un coup d’œil à l'étudiant, la brunette sortit la lame avec la rapidité d'une habituée, et découpa soigneusement le haut du plastique afin de pouvoir sortir les livres de leur emballage de sécurité. Elle aurait pu couper sur la tranche, ainsi que sur chaque côté, mais elle était un peu maniaque. Même pour les emballages, elle souhaitait faire ça avec méthode et sans froisser quoique ce soit. C'était la même chose pour les papiers cadeaux. Ensuite, elle les pliait avec soin, et alors seulement, elle consentait à les jeter.
E
lle fit de même pour les quatre livres avant de reposer le cutter à côté d'elle. Délicatement, presque avec amour, Lux saisit le premier ouvrage et le fit glisser hors de l'emballage plastique. Elle le reposa à plat sur la table avant d'y poser le livre et de déplier le papier-bulle qui l'entourait. L'odeur des livres neufs l'enivra, faisant pétiller ses prunelles d'un plaisir sincère. Celui de la découverte, de l'amour et du bonheur. Au fond, c'était juste une grande enfant, la brunette. Elle avait peut-être pris de l'âge, mais elle gardait cette innocence, cette naïveté, qui caractérise les jeunes gens. Il faut dire qu'elle ne se considérait pas non plus comme étant vieille à vingt-cinq ans. Au contraire, elle se trouvait dans la fleur de l'âge. Elle avait un quart de siècle derrière elle, mais il lui en restait beaucoup plus à vivre. Elle n'allait pas s'apitoyer sur ses années passées, où elle aurait l'impression de passer à côté de sa vie. Elle aurait l'impression que le temps avait filé trop vite. Elle comptait plutôt profiter au maximum du temps qu'elle passait sur terre.
« Que recherchez-vous, exactement, dans le folklore japonais ? »
O
n ne pouvait pas dire que c'était Lux s'il n'y avait pas cette insatiable curiosité qui l'animait. C'était comme dire qu'un chat était un lion alors même qu'il n'avait pas la crinière sauvage du roi des félins. Par ailleurs, son sourire défiait le jeune homme de chercher à se débarrasser d'elle. Comme souvent, quand elle venait le voir à la bibliothèque, elle s'imposait sans la moindre gêne, naturellement. Elle n'avait, jusqu'ici, pas eu l'impression que ça l'agaçait profondément. Mais elle n'était pas omnisciente non plus. Certains lui montraient clairement qu'ils préféreraient qu'elle soit ailleurs. Elle pensait notamment à Oskar Makarov, qu'elle "harcelait", si l'on pouvait dire ça comme ça.
« Êtes-vous sur le même domaine de recherche que Scott ? Il m'a semblé l'entendre également parler du folklore asiatique. »
T
rès subtile, comme toujours. Elle passa sous silence le fait qu'elle lui avait pratiquement tiré les vers du nez, l'autre jour, en s'imposant comme elle le faisait ce soir pour l'aider dans ses recherches. C'est d'ailleurs suite à cet épisode qu'elle avait commandé ces quatre nouveaux ouvrages. D'une part, parce que la bibliothèque manquait cruellement de références à ce sujet, et d'autre part, parce qu'elle était irrépressiblement curieuse et animée de la meilleure volonté du monde en voulant aider les étudiants, que ce soit pour les cours ou pour un projet plus personnel.

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MessageSujet: Re: Talkers are not doers ♦ ft. Stiles Talkers are not doers ♦ ft. Stiles EmptyJeu 11 Fév 2016 - 15:14

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Avant que Lux n’arrive, tu avais passé de longues heures face à cette satanée montagne de bouquins. Montagne qui s’est vite montrée infranchissable. Pourtant tu n’as pas lâché l’affaire. Non, tu as persévéré, jusqu’à t’en filer mal au crâne. Tu peux presque sentir ton coeur battre sous tes tempes à cause de la douleur, mais même ça, ça ne t’arrêtes pas. Tu as prévenu Scott que tu étais sensé travaillé cet après-midi, histoire qu’il ne vienne pas te déranger. T’es presque sûr que ton meilleur ami n’a même pas remarqué que tu étais incapable de lire quoique ce soit ces derniers temps, alors étudier, c’est un bien grand mot. Enfin, tu ne préfères pas y penser.

C’est la venue de Lux qui t’as tiré de ton ascension livresque. Tu ne sais pas trop si c’est une bonne ou une mauvaise chose. Peut-être que c’est mieux. Ça ne sert à rien de s’acharner comme tu le fais. À part faire fondre ta cervelle tu ne vois pas trop ce que tu peux obtenir. Seulement, c’est plus fort que toi, tu as besoin de comprendre ce qui t’arrives, de savoir pourquoi tu rames comme ça. Ça te frustres bordel, c’est pourtant pas difficile à comprendre. Sans trop faire attention à ce qu’elle a pu dire avant, tu lui parles du folklore japonais. C’est ce qui t’intéresses actuellement. Une petite voix dans ta tête te dis que si tu arrives à trouver la réponse à cette question de créatures étranges qui se baladent dans Beacon Hills, tu trouveras aussi une réponse à tes petites galères. Alors, c’est presque vital pour toi de comprendre ce qui se passe encore une fois à Beacon Hills.

Heureusement, Lux ne pose pas trop de questions et accepte de t’aider. C’est déjà ça de gagner. Apparemment, elle a reçu de nouveaux bouquins concernant le sujet qui t’intéresse. Serait-ce ton jour de chance ? On ne s’emballe pas trop vite. Tu acquiesce quand elle te dis qu’elle met un point d’honneur à lire les livres qu’elle propose à ses étudiants. C’est une bonne chose, au moins tu sais que ses conseils ne sont pas dû au hasard. « Vous allez pouvoir m’aider alors » Lux est toujours joyeuse. Aussi lumineuse que son prénom. C’est agréable à voir, t’en oublierais presque tes soucis de concentration. Elle te demande de déposer ta pile de livres sur le chariot un peu plus loin et tu ne refuses pas. Après tout c’est toi qui les a ramené jusqu’ici, tu peux au moins faciliter un peu son travail. T’attends qu’elle disparaisse pour te redresser et attraper les livres devant toi. Tu regardes une dernière fois leurs couvertures avant de les poser sur le chariot un peu plus loin. Quand tu te retournes, la table où tu t’es installé paraît tellement vide une fois débarrasser de tous les ouvrages. Tu te laisses de nouveau tomber sur une chaise, passant une main dans tes mèches châtains. Les choses sont tellement plus compliquées qu’elles ne devraient l’être.

Lux revient et te tire de nouveau de tes pensées. Tu essayes d’avoir l’air le plus normal possible, mais ce n’est pas forcément ce que tu fais de mieux en ce moment. Même si au fond, tu ne sais pas si tu as déjà été normal un jour. Un sourire se dessine sur tes lèvres quand elle te parle de primeur. « Merveilleux ! » lâche-tu le plus enthousiaste possible. Tu observes les ouvrages qu’elle place devant vous et tu demandes si tu vas réussir à lire ce qui se trouve à l’intérieur. Non, parce que tu doutes que ce ne soit que des images. Se serait bien plus simple. Tu la laisse s’occuper d’ouvrir les emballages, ça à l’air de lui tenir à coeur et tu ne voudrais pas la contrarier. Qu’est-ce que tu cherches dans le folklore japonais ? bonne question. Une réponse. Simplement une réponse aux questions qui te taraudent depuis trop longtemps déjà. « Je veux me concentrer sur les créatures du folklore japonais » c’est certainement là que tu trouveras ce que tu cherches. Sans vraiment réfléchir, ton naturel revient au galop quand elle te demande si tu travailles sur le même sujet que Scott. Le mensonge fais parti de toi. « Mon meilleur ami manque cruellement d’originalité et il est obligé de tricher sur moi. Insupportable. » répond-tu avec une facilité déconcertante. Tu lui mens, mais ça ne te dérange pas tant que ça. T’as l’habitude. Quand tu côtoies des loups garous, des banshees et autres espèces surnaturelles tous les jours tu es obligé de savoir maquiller la vérité. « Vous ne savez pas s’il a trouvé quelque chose quand il est venu vous voir ? » si tu peux trouver un moyen plus rapide d’avoir des réponses tu ne vas pas te gêner.  
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